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    Quelques fleurs pour ensoleiller votre Week end...

     

     

    Ce sont celles que je vois de la fenêtre du bureau...

     

    Malou...


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    Il n'est pas dans les habitudes du billettiste du "Populaire du centre" de critiquer ses éminents confrères de la presse écrite parisienne. Mais force est de constater que, sous la plume ou au micro, "la province" est parfois une contrée lointaine et vague. Pour preuve, ces titres en caractères gras lus ces derniers jours en se frottanr les yeux...: Toulouse...(Gers) ! Poitiers...(Haute-Vienne) ! Lourdes...(Haute-garonne) !

    Reconnaissons-le, il est grand temps que le Tour de France, en une leçon de géographie vivante et mémorable, remette, à l'heure, sinon les GPS en perdition, du moins les pendules de l'actualité.

     

    Géographie...

    Toulouse en Haute-Garonne...Poitiers dans la Vienne et Lourdes dans les

    Hautes-Pyrénées !!! Bien sûr...

    C'était la minute culturelle...

    Malou


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     Tortue, que fais-tu là ?

    Dans ce coin perdu de province ?

    As-tu échoué là

    Pour l'amour d'un beau prince ?

     

    Les pierres de légendes...

     

    Quel sorcier, quelle fée

    Ont fait que tu sois là

    Transformée en rocher

    venant se Massauvas ?

    ...

     

    Les pierres de légendes...

     

    En ce temps là, la terre était très belle, luxuriante, le climat bien différent de ce qu'il est aujourd'hui...

    Les hommes n'étaient pas encore nés, mais les animaux, eux, étaient bien de ce monde. Notre petit coin de planète, au nord de notre actuel Limousin, était peuplé d'une faune très riche avec de nombreux singes.

    Ils habitaient là, cultivaient la terre, cueillaient les fruits...se promenaient de monts en vallées...de ruisseaux en forêts...

    De nombreux singes étaient aussi artistes. Celui qui nous intéresse était sculpteur et une de ses oeuvres a passé miraculeusement les siècles...elle est encore de nos jours une sculpture exceptionnelle...

    C'est une tête de singe, grandeur maxi...elle est exposée aux rayons du soleil, aux gouttes de pluie, jours et nuits à moins d'une lieue de Compreignac...

    Cette histoire n'est peut-être qu'une légende mais, les légendes ne sont-elles pas des oeuvres artistiques, source de rêve, de réflexion et, parfois, d'admiration !

     

    Malou...


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    Nous voila partis pour une balade organisée sur les pierres de légendes...nous étions 35 participants...avec un train beaucoup trop rapide pour quelqu'un qui  a du mal à respirer dans les montées...

     

    Balade bucolique...

     

    J'irai dans les sentiers à légendes

    Dès le petit matin, quand suinte la rosée,

    Et que les oiseaux jazzent en un joyeux big bang,

    Avant que d'arriver à la chambre des fées.

     

    Balade bucolique...

     

    Là, je  m'arrêterai respirer sous les hêtres

    Et puis, je sortirai de mon sac, une croûte

    Qu'ensuite je casserai. Et puis, j'enverrai paître

    Au diable les soucis. je n'aurai plus de doûte,

     

    Les pierres de légendes

     

    La vie habite là, au coeur de la nature et je la goûterai ...

    Je dirai aux secondes de ralentir l'allure...

    et je profiterai de ces instants magiques

    Où le temps est suspendu...

     

     

    Balade bucolique...

     

    Traversant le Limousin, un géant s'arrêta sur un rocher près de Compreignac. Quand il se réveilla après une bonne sieste, il aperçut dans la prairie en contrebas une bergère tellement belle qu'il en tombat immédiatement amoureux...il l'interpella; mais la jeune femme terrorisée s'enfuit.

    Le géant se frotta les yeux...il se demanda s'il ne venait pas de rêver. Il attendit jusqu'à la tombée de la nuit, mais la belle ne revint pas !

    Le malheureux attendit encore une vingtaine de jours, réduit au désespoir, le géant mourut de chagrin.

    On dit que le coeur immensément grand est resté accroché au rocher et...s'est desséché.

     

    Voilà une partie des légendes qui nous ont été contées...

    Qu'il est bon de faire ce voyage...

     

    A bientôt...

    Malou

     

     

     

     


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    Mignonne, allons voir si la rose

    Qui ce matin avait déclose

    Sa robe pourpre au soleil,

    A point perdue cette vêprée

    Les plis de sa robe pourprée

    Et son teint au vôtre pareil.

     

    Les rosiers...

     

     

    Las ! voyez comme en peu d'espace,

    Mignonne, elle a dessus la place

    Las ! las ! ses beautés laissé choir!

    ô vraiment marâtre nature,

    Puisqu'une fleur ne dure

    Que du matin jusques au soir !

     

    Les rosiers...

     

     

    Donc, si vous me croyez, mignonne,

    Tandis que votre âge fleuronne

    En sa verte nouveauté,

    Cueillez, cueillez votre jeunesse:

    Comme à cette fleur la vieillesse

    Fera ternir votre beauté

     

    Pierre de Ronsard


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